PENGZU QI GONG

Est-ce que le Qi Gong remplace un traitement médical ? → Non. Cependant, Le Qi Gong thérapeutique agit très bien en complément d’un suivi médical "classique". Il ne remplace en aucun cas un traitement prescrit par un·e professionnel·le de santé, mais il peut en renforcer les effets en mobilisant activement le corps et l’énergie vitale.

À quelle fréquence faut-il pratiquer ? → Pour des effets profonds, il est conseillé de suivre un parcours de 6 à 10 séances rapprochées, et de pratiquer quelques exercices légers entre les séances. La fréquence sera ajustée en fonction de votre situation.

Ai-je besoin d’avoir déjà pratiqué ? → Absolument pas. La méthode est accessible à toutes et tous, quel que soit votre âge ou votre condition physique.

Faut-il une tenue particulière pour la séance ? → Non, aucune tenue spéciale n’est requise. Privilégiez des vêtements confortables, souples, qui ne serrent pas la taille ni la poitrine, afin de faciliter la respiration et les mouvements.

Est-ce reconnu par les assurances ? → Oui, la thérapeute est certifiée ASCA, ce qui permet, selon votre assurance complémentaire, un remboursement partiel ou total des séances.

Quels sont les moyens de paiement acceptés ? → TWINT ou espèces à la fin de chaque séance.

Quelle est la différence entre le Qi Gong thérapeutique et l’acupuncture ? → Le Qi Gong thérapeutique peut faire appel à l'acupuncture, qui est un des outils à disposition des practiciens. Cependant, cela n'est souvent pas nécessaire. L’énergie est mobilisée par le biais du mouvement, de la respiration et de l’intention, sans contact invasif. L’acupuncture, elle, stimule des points précis par des aiguilles. Les deux disciplines visent à rétablir la circulation du Qi, mais par des moyens différents.

Est-ce que le Qi Gong thérapeutique est une médecine à part entière ? → Non. C’est une discipline issue de la médecine traditionnelle chinoise, au même titre que la pharmacopée, l’acupuncture, le massage Tui Na ou la diététique. Elle en est l’un des piliers, centré sur l’autonomie, la pratique corporelle, et l’entretien du souffle.

Le Qi Gong thérapeutique est-il reconnu en Chine ? → Oui. Il est largement pratiqué en Chine, tant dans les hôpitaux traditionnels que dans les centres de santé. Il existe même des universités spécialisées et des cliniques qui proposent le Qi Gong en complément de traitements médicaux.

Est-ce que cette pratique est utilisée ailleurs dans le monde ? → Oui. Le Qi Gong thérapeutique est aujourd’hui enseigné et pratiqué dans de nombreux pays, notamment en France, en Allemagne, aux États-Unis et au Canada, souvent en complément des médecines conventionnelles ou des approches holistiques.

Est-ce que le Qi Gong, c’est comme le Tai Chi ? → Le Tai Chi est un art martial interne basé sur des enchaînements codifiés. Le Qi Gong thérapeutique est plus direct et individualisé, avec des gestes simples, parfois statiques, destinés à répondre à un besoin énergétique ou à un déséquilibre précis.

Est-ce que c’est une pratique spirituelle ? → Pas nécessairement. Le Qi Gong thérapeutique peut être vécu de manière très concrète et corporelle, mais il s’inscrit dans une vision globale de l’être humain, où le corps, l’esprit et l’énergie sont interconnectés.

Que signifie “Qi” exactement ? → Le “Qi” est souvent traduit par énergie vitale, mais il s’agit d’un concept plus vaste, qui désigne la force de vie, le souffle qui anime toute chose – le corps, la nature, les émotions, le monde.

Peut-on pratiquer en cas de grande fatigue ou de maladie ? → Oui, c’est même conseillé. Les gestes sont doux, adaptés, et peuvent être pratiqués assis ou allongé·e si nécessaire. Le but est justement de reconstruire une énergie de fond, pas de forcer le corps.

À quoi ressemble une “guérison” dans cette approche ? → Il ne s’agit pas d’une disparition miraculeuse des symptômes. La guérison passe par un rééquilibrage global, une meilleure circulation, un apaisement du mental, une énergie plus stable. Et surtout, par une reconnexion à soi.

Faut-il “croire” au Qi Gong pour que ça marche ? → Non. Il ne s’agit pas de croyance mais d’expérience. Le Qi Gong agit sur le système nerveux, la respiration, les fascias, la posture… Ce sont des phénomènes physiologiques observables. Ce qui compte, c’est la régularité et l’implication dans la pratique.